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Bonjour Yvan,
Il y a peu de chance que cette requête aboutisse : Dimitri ne s’est pas reconnecté depuis sa dernière contribution il y a un peu plus de deux ans.
C’est le cas régulièrement de personnes qui posent des questions ici et, une fois la réponse obtenue, disparaissent sans toujours avoir le temps de dire merci ou de revenir participer… ils doivent être trop pressés…
13 mars 2020 à 7 h 07 min en réponse à : Étalonnage/vérification des capteurs et norme ISO 9001 #18180Généralement, le constat est détaillé, mais l’exigence de référence n’est pas tracée aussi finement.
Ainsi, il sera certainement attribué au paragraphe 7.1.5 ou 7.1. L’importance n’est pas sur ce degré de détail, mais bien sur le libellé du constat.
En revanche, selon la nature des données qualifiées par un capteur et selon les causes de ce manque : la gradation du constat pourra être différente.
Ha ! Pardonnez-moi : je n’avais pas vu qu’il ne s’agissait que d’un diagnostic.
Oui… 2h peuvent alors suffire d’autant que des critères sont déjà « répondus » par le fait d’être DATADOCK.
Concernant les vidéos : elles sont toutes prêtes (les 32). Simplement, notre graphiste est en train d’intégrer des documents à ces vidéos et nous avons une urgence d’une collection de 22 vidéos à placer « avant ». Je pense donc que les vidéos critères par critères seront en ligne plutôt dans 15 jours…
Bonjour,
Pas à pas…
La norme ISO 9001 n’aborde pas le concept de base de données, mais de maîtrise des données. Dans le cas de cette maîtrise, les exigences sont : assurer de pouvoir identifier les documents sans risque d’erreur, assurer de ne mettre à disposition et d’utiliser que les versions à jour de ces documents, veiller à conserver les documents faisant office de preuve de fonctionnement du système de management. Concernant les documents d’origine externe (contractuels, informatifs…) ce sont globalement les mêmes dispositions de maîtrise.
Si vous souhaitez créer une base de données, ou du moins une liste : elle aura le contenu adapté à votre organisme, à votre démarche, à votre contexte… voilà pourquoi il n’existe pas de liste « toute faire ». Lorsque de telles listes sont établies, elles comportent généralement : le titre/nom du document, sa date de mise à jour (éventuellement son indice et sa référence si vous utilisez ces éléments), sa nature (procédure…), son lieu (ou lien) d’accès. S’il s’agit d’un enregistrement : ses lieux/durées/format de classement et d’archivage (les responsabilités pour cela si nécessaire).
Concernant les procédures : pas du tout
Bien qu’une bande d’ignares ait clamé à corps et à cri que « youpi » les procédures ne sont plus obligatoires, c’est faux. Les procédures « obligatoires » dans les versions de la norme précédentes (6 procédures obligatoires) ne le sont plus. MAIS l’exigence de documenter (y compris sous forme de procédure) ce qui, en l’absence de documentation, peut présenter un risque demeure. Vous pouvez tout comprendre de ce besoin ici : http://www.youtube.com/watch?v=gGbUwlHuDcs&list=PLzI6uqudyS8OhfmmCdhm4dzHXjcSecmht
La pyramide documentaire n’a jamais été une exigence de la norme, mais une « convention » de représentation pédagogique assez pratique. Elle est toujours parfaitement d’actualité.
Concernant l’intégration de l’idée de processus et de pilotes de processus dans cette base…
Pour rappel, il n’existe aucune exigence de « pilotes de processus » dans la norme ISO 9001. Les processus doivent être « pilotés » mais pas nécessairement par des pilotes. CEla peut être plus pratique, dans certains cas, contre-productif dans d’autres.
Le plus simple est d’affecter votre documentation à des processus (processus qui dépendent, eux, de pilotes). Un tableau à double entrée peut comprendre les documents en ligne, les informations citées plus haut en colonne (titre, mise à jour…) et, pourquoi pas : les processus concernés également en colonne. Parce que vous l’avez mentionné : vous pouvez aussi ajouter les paragraphes de la norme afin de crée ce que l’on nomme généralement « une matrice de correspondance ».
Je lis les posts « pas à pas » et je viens de voir votre grille de croisement exigences / supports…
Pourquoi pas… mais je vous conseille vivement de la « balancer » dans l’autre sens : documents en ligne, exigences en colonnes. Tout simplement parce que certains supports répondent à plusieurs exigences et que votre finalité est dans les supports.
Que souhaitez-vous mettre dans les colonnes « Formation initiale » et « Formation continue » s’il vous plait ?
Concernant la demande de type « organiser une sortie scolaire » : mettre un lien hypertexte sur les noms des documents vous aiderait. Mieux encore : créer une procédure « organisation des sorties scolaires » qui intégrerait des liens hypertextes vers les supports à utiliser serait pas mal.
Bon courage
Ai-je bien compris… l’audit se fera sur 2h ?
Concernant DATADOCK : ne perdez pas votre temps sur cela… il y a un monde entre DATADOCK et QUALIOPI. En revanche (et pour une année encore) si vous auditez une structure qui est déjà référencée QUALIOPI, cela simplifie les choses. Plusieurs critères sont considérés comme acquis et ne nécessitent pas d’être évalués.
11 mars 2020 à 7 h 12 min en réponse à : Étalonnage/vérification des capteurs et norme ISO 9001 #18172Bonjour Mickaël,
Oui, nous sommes entièrement d’accord : il n’y a pas de questions bêtes
Vous l’avez dit : les équipements mesurant la conformité (ou non) des produits / prestations doivent être maîtrisés afin d’assurer qu’ils produisent des mesures dont la qualité et les incertitudes sont connues, compatibles avec les résultats attendus et, à chaque fois que cela est possible, raccordés aux systèmes de mesure internationaux.
Si vos capteurs assurent la conformité de vos « produits », qui sont des données mesurées : ils sont parfaitement dans le champ de cette exigence et nécessitent la mise en oeuvre de ces dispositions de maîtrise (étalonnage, vérification…) avec une documentation assurant de tracer leur « vie ».
Bonjour Bal,
Dans ce cas précis, la réponse est assez aisée : non…
L’audit interne doit vous assurer de revoir la conformité aux exigences et la performance de votre système de management sur l’ensemble des exigences de la norme sur une « période donnée ». Il n’y a pas d’autre mécanisme (que l’audit interne et ses différentes possibilités de le réaliser) objectif, indépendant et systématique pouvant s’y substituer.
Bonsoir,
Hé bien… ce sera déjà une bonne chose que de poser les questions relatives aux 32 indicateurs et de valider (ou non) la « solidité » des preuves qui vous seront données en retour.
Qu’attendriez-vous de plus ?
(n’y voyez là aucune moquerie)
Bonsoir,
Le plan d’assurance qualité à une utilité « normale » : celle de décrire des amendements (des différences) de dispositions en plus ou en moins par rapport au système de management de la qualité et qui s’appliqueront au contrat spécifique concerné par l’appel d’offre. Par exemple : pour le client MARTIN, en plus de ce que prévoie votre système de management, vous mettrez en œuvre des enregistrements (pour assurer la traçabilité) particuliers qui ne seront applicables qu’à ce client / contrat. Cela est convenu contractuellement.
Il a au moins deux fonctions « anormales » :
– les clients qui exigent systématiquement un plan d’assurance qualité parce qu’ils n’ont pas compris l’utilité d’un système de management de la qualité et de la certification (souvent, parce qu’ils sont eux mêmes certifiés avec une démarche qualité médiocre et, donc, ne comprennent pas la « suffisance de la chose », en partie également parce qu’une part importante des systèmes de management certifiés ne méritent pas de l’être. Brandir alors la certification ISO 9001 n’a pas de valeur à leurs yeux).
– les commerciaux d’une entreprise qui, pour faciliter l’accès à des marchés s’engagent facilement dans la « vente » de plans qualité plutôt que de faire la promotion du système de management existant (pour des raisons analogues aux raisons précédentes, la facilité en plus…).
9 mars 2020 à 13 h 40 min en réponse à : Risques et opportunités des processus ISO 9001 PROCESSUS #18163Bonjour,
Nous avons échangé récemment sur les enjeux et les liens avec les risques : je vous propose d’aller jeter un oeil dans le fil de discussion, un peu plus loin
Pour vous éclairer « complètement » sur les risques et opportunités, je vous conseille ceci : http://www.youtube.com/watch?v=OOtX0V50dvk&list=PLzI6uqudyS8OkftVXVI-EWzduF6K6Wn3o
Si des points vous semblent encore obscurs : j’y répondrais avec grand plaisir
Bonjour, dans notre cas, ce domaine d’application est :
Notre système de management est certifié selon les exigences de la norme ISO 9001 version 2015 sur l’ensemble des prestations suivantes :
– ACCOMPAGNEMENT AU DEPLOIEMENT DE SYSTEMES DE MANAGEMENT & INGENIERIE DES PROCESSUS
– EXTERNALISATION DE LA FONCTION QUALITE
– CONCEPTION ET EVALUATION DE DISPOSITFS DE LABELLISATION
– PILOTAGE DE PROJETS STRATEGIQUES
– CONCEPTION ET REALISATION DE FORMATIONSIl est formalisé dans notre manuel qualité (disponible pour exemple dans l’un des fils de discussion d’il y a quelques mois).
9 mars 2020 à 7 h 24 min en réponse à : ISO17025 : Responsable qualité / Responsable technique #18158Henri
De toute évidence : vous ne connaissez pas l’ISO/IEC 17025, ni le LAB REF 02, les LAB GEN, LAB REF et LAB INF qui les accompagnent.
Alors, une toute dernière fois : restez dans votre domaine de compétence (je crois vous l’avoir déjà demandé récemment) et abstenez-vous de ce genre de commentaires, ils sont inappropriés, faux et induisent les lecteurs en erreur.
Merci de ne plus participer de cette manière aux fils de discussion concernant l’ISO/IEC 17025, sans aucun débat inutile bien entendu : aucune réponse de votre part n’est requise.
8 mars 2020 à 9 h 02 min en réponse à : ISO17025 : Responsable qualité / Responsable technique #18153A l’attention des personnes ici déployant la norme d’accréditation ISO/IEC 17025:2017, il est préférable de ne pas tenir compte du post précédent dans l’identification des fonctions et responsabilités nommément spécifiées dans la norme et dans le LAF REF 02.
Pour rappel, vous devez définir et « outiller » les responsabilités et compétences des fonctions et responsabilités suivantes (dans un ordre pratiquement chronologique à leur exigence dans la norme) :
– Direction du laboratoire
– Personnel (dont tout membres des comités) et plus spécifiquement celles et ceux : qui exécutent ou vérifient les travaux affectant les résultats, qui développent / modifient / vérifient / valident les méthodes, qui analysent les résultats / déclarations de conformité / avis / interprétation, rendent compte / examinent / approuvent les résultats, gèrent les travaux non-conformes, autorisent la poursuite des travaux (après non-conformité), établissent / révisent / approuvent les conclusions signifiées à un plaignant
– Contractants
– Personnels d’organismes externes
– Personnes agissant pour le compte du laboratoire
– Encadrement
– Organisation mère
– Opérations techniques et services de soutien
– Fonction en charge des activités décrites en 5.6
Pour rappel également : l’ISO:IEC 17025 n’est pas une norme de certification d’un systèmes de management, mais d’accréditation des compétences d’un laboratoire.
Bienvenue
Bonjour,
Forcément sous une forme « documentée » (écrite) et cohérente avec la description de votre système de management. Cela peut être dans un « manuel qualité » si vous conservez cette disposition*, une plaquette, une description spécifique de ce domaine d’application dans un document interne… ce document n’est pas nécessairement tenu à disposition de clients ou de parties intéressées externes.
* pour celles et ceux qui peuvent se poser la question de l’utilité de conserver un manuel qualité ou non : de nombreux sujets, dont des sujets récents, traitent de cela un peu plus loin
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