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Bonjour,
Pourriez-vous répondre, s’il vous plait, à ces quelques questions :
– quels types de produits réalisez-vous et quels types de moyens avez-vous pour cela ?
– quelles maintenances réalisez-vous ? Externalisez-vous cette maintenance ?
– disposez-vous de systèmes particuliers pour programmer / suivre ces maintenances ?
– qui prend en charge les maintenances ?
– quels objectifs de performance définissez-vous pour « la maintenance » ?
Cordialement,
Bonsoir,
Difficile de vous proposer des conseils dans ce contexte malgré pas mal de bonne volonté. Cela reviendrait à vous former complètement, de A à Z sur un métier…
Vous voilà dans un contexte ou trop de « dirigeants » pensent qu’une certification est une chose toute simple et qu’il suffit de mettre quelques documents à droite à gauche.
Je pense que vous pouvez en profiter pour vous former sérieusement (internet, youtube, questions plus « chirurgicales » ici en fonction de votre compréhension) pendant cette période et surtout viser le fait d’apprendre. Apporter à une entreprise sera pour plus tard.
Vous préparez un BTS en alternance dans quel domaine ? L’entreprise dans laquelle vous intervenez est, elle, dans quel domaine ?
Nous pourrons peut-être vous orienter sur les meilleures sources à aller consulter
Bon courage
Je ré-itère mes conseils : assurez-vous de disposer ou « d’approvisionner » les compétences nécessaires afin de vous donner les meilleures chances, dès le début, de disposer d’une véritable démarche qualité (et donc d’audit), et pas seulement d’un ensemble de « minimums » qui peuvent rendre votre système inutile.
Concernant l’obligation d’impartialité : n’auditez-pas votre propre périmètre.
Cordialement,
Bonjour,
S’agit-il d’un « modèle de plan formation » (qui porte plutôt le nom de « plan de formation ») ou bien d’un support de formation (qui s’approche plutôt de l’une de ses formes possibles en powerpoint) ?
Globalement, c’est le principe.
En revanche : elles ne sont pas forcément à séquencer toutes les 4 selon le sujet considéré.
L’exemple cité précédemment (fabrication de produits) peut rendre ces 4 thématiques nécessaires et séquencées.
Mais, par exemple, dans la mesure de performance d’un processus, seules les 3 thématiques « mesure », « analyse » et « évaluation » sont utiles. Dans l’évaluation des besoins et attentes des parties intéressées : l’analyse et l’évaluation suffisent.
Ce sont des termes génériques et non un process à déployer en 4 phases.
Bonjour,
Ces 4 termes peuvent, selon les contextes (il serait intéressant que vous nous donniez le votre), être vu de manière distinctes ou représenter les mêmes concepts.
Par exemple, une entreprise de manufacture d’un produit mécanique quelconque à intérêt à identifier les points à surveiller (performance de son produit, conformité dimensionnelle, poids…), à mesurer les points qui lui semblent important pour la conformité (un test de performance, une mesure dimensionnelle de certaines cotes importantes, une pesée spécifique systématique ou par échantillonnage… tout cela avec les process et les instruments adéquats), à analyser les résultats des mesures (conformité, dispersion, dérive…) et à évaluer la qualité de ses processus techniques (performance…). C’est la même exigence que le 8.5.1 c) pour ce qui concerne une telle activité.
Ce qui est à retenir, c’est qu’il vous appartient d’identifier ce qui est à surveiller, puis, de le mesurer et d’en analyser les résultats afin d’en évaluer la performance.
Ce sont des « principes » globaux qui se déploient dans l’ensemble de votre système de management. Ainsi, autre exemple, la mesure de satisfaction des clients est une « surveillance » de votre qualité que vous mettez en œuvre, que vous « mesurez » au moyen d’un questionnement ou d’une évaluation, que vous « analyserez » statistiquement ou au cas pas cas et qui contribuera à « évaluer » la performance de votre prestation, entre autres…
Bonjour et merci pour ces vœux : belle année à vous également (du reste, elle commence bien cette année
)Voici les réponses à vos questions, dans l’ordre…
[… un audit interne devra être fait avant le prochain audit de renouvellement…]
Même s’il ne s’est pas agit d’une question, un rappel cependant : la norme n’impose pas de faire des audits internes chaque année, mais des audits internes à une fréquence qu’il vous appartient de définir et de respecter. Ils sont souvent plus rapprochés dans les premières années de maturation d’un système de management, puis, peuvent tout à fait être espacés selon les résultats même des audits et les éventuelles évolutions du champ d’application de votre système. La seule exigence est d’évaluer l’ensemble de votre système de management et l’ensemble des exigences sur une période de 3 ans.
[… si vous auditez vous même votre système de management…]
Cela est tout à fait possible, néanmoins, vous ne pourrez pas évaluer les activités auxquelles vos participez directement (votre processus si vous avez, par exemple, défini un processus traitant de l’amélioration / correction / qualité, les éléments tels que la revue de Direction, par exemple, si vous préparez ces revues…). Il vous faudra trouver une autre astuce pour évaluer ces périmètre (par exemple : une personne que vous formeriez en interne à l’audit interne ?).
[… je ne pense pas que je puisse respecter complètement l’objectivité et l’impartialité…]
C’est exactement cela.
[… un audit interne dans le cadre de l’ISO 9001 doit-il forcément être mené par une personne officiellement formée à cela ?…]
Absolument pas. Un audit interne doit être mené par une personne dont vous avez spécifié et reconnu la compétence pour cela. Effectivement, la formation à l’audit interne demeure l’un des moyens les plus efficace, mais, d’expérience : il y a de bonnes formation et des formations lamentables, il y a de bon.ne.s audit.rices.eurs qui n’ont pas été formé.e.s et de très mauvais.es qui ont pourtant suivi des formations à l’audit interne (et inversement).
[… n’importe lequel de mes collaborateurs peut jouer le rôle d’auditeur…]
Non… cela nécessite une compétence minimum, une connaissance des exigences de la norme auditée et un certain nombre de qualité que tout le monde ne possède pas.
Si vous souhaitez vous lancer ainsi dans la pratique des audits internes, je vous conseille le visionnage de ceci : http://www.youtube.com/watch?v=CTGd2rua07g&list=PLzI6uqudyS8OE5QWtUV9AjDXggQlUICIy
Bon courage à vous,
(si je puis me permettre, mais juste pour le fun : pourquoi la traduction anglaise sur votre certificat est… doublée ? C’est original… serait-ce une 3ème langue qui n’est pas passée ?
)Bonjour,
Nous ne diffusons pas de normes et n’encourageons pas la transmission, le dépôt ou l’échange de documents soumis à copyright sur ce forum.
En revanche, nous pouvons comprendre le besoin de trouver des informations spécifiques dans le domaine des systèmes de management normés et la communauté de QUALIBLOG se fera un plaisir de répondre à toute question à ce sujet
N’hésitez pas !
Bonjour,
Comme très très souvent : il ne s’agit pas d’une question de nombre, mais de qualité et de résultat.
Par exemple, le critère 1 (… le prestataire diffuse une information accessible au public, détaillée et vérifiable sur les prestations proposées : prérequis, objectifs, durée, modalités et délais d’accès, tarifs, contacts, méthodes mobilisées et modalités d’évaluation, accessibilité aux personnes handicapées…) propose plusieurs exemples de preuves : plaquette, réseaux sociaux, site internet…
Si votre site internet est « correctement » construit et permet un accès rapide et sans ambiguïté à l’information, et que, par exemple, votre site répond aux principes WCAG-EM (Web Content Accessibility Guidelines), cet exemple (ou ce seul cas de réponse) peut convenir.
En revanche, si les informations sont sur un site internet, difficilement accessible ou nécessitant des manipulations fastidieuses pour y accéder, ou alors si ces informations ne sont pas à jour, bref, si elles peuvent induire un futur bénéficiaire en erreur et ne pas assurer la finalité qui demeure : …donner une information accessible, exhaustive (c’est-à-dire sur l’intégralité des items mentionnés) datée et actualisée… hé bien, cela ne suffira pas.
Comme dans tout système de management, ce n’est pas une question de quantité, mais de qualité.
Bonjour,
Dans le cas d’un système de management sur une organisation conséquente, et si j’avais à traiter ce mémoire, je pense que j’utiliserais les outils déjà intégrés au système et, en premier lieu : l’analyse de risques.
Ainsi, une analyse de risques sur la pérennité du système de management apporterait certainement des pistes sur le « comment pérenniser un SMQ ».
A ce titre, j’imaginerais des familles de risques : risques internes, risques externes… risques liés à la stratégie par exemple (est-ce que le SMQ répond à la stratégie ou contribue à la stratégie de la Direction…), risques liés au contexte, risques quant à l’implication…
Bonjour,
Visiblement, vous devriez pouvoir établir un « petit » tableau avec deux familles d’exigences (8.7.1 et 8.7.2) peut-être subdivisées en exigences (a), b), c)…), puis, chacune sera détaillée dans deux colonnes suivantes « Méthode de mesure » et « Méthode d’analyse.
Par exemple :
8.7 | 8.7.1 | b) isolement / confinement / retour / suspension de fourniture | Enregistrement des évènements et quantités isolées, confinées…, enregistrement des produits-prestations livrés malgré identification de non-conformes… | Exploitation statistique des natures, quantités… dans le temps
Pourquoi pas ?
Ces « rappels à l’ordre » ne sont pas monnaie courante et c’est bien dommage : ce devrait être de la responsabilité de tout organisme prêtant son nom au sérieux de la certification.
De pratique, l’organisme concerné par la société de Katoucha est plutôt rigoureux sur ce point et devrait, si la norme « usurpée » est visible, finir par identifier ce point…
Bonjour,
En premier risque : celui d’une perte de crédibilité face à tout client un tant soit peu informé et qui en déduira une piètre connaissance et donc maîtrise de cette certification.
Ensuite, si vous indiquez (ce qui n’est pas obligatoire) le nom de votre organisme certificateur : un rappel à l’ordre de la part de ce dernier avec effet sur vos certifications « valides ».
Enfin, plus rare, si cette certification a été l’un des critères d’attribution d’un marché, de plus dans un domaine public tel qu’une collectivité : un concurrent (imaginons un groupe plus grand que le votre, un « major »…) disposera ainsi d’un levier intéressant
Mais sinon… pas plus que cela
Bonjour,
Les finalités d’un audit interne sont d’évaluer la conformité et la performance d’un système (de management notamment) par rapport à un référentiel (interne ou externe) et ses objectifs.
Ainsi, pour un cadre tel que la certification ISO 9001:2015, il peut être intéressant d’évaluer la contribution des audits internes par exemple ainsi :
– part des actions (de correction et d’amélioration) entreprises au sein des processus et ayant été identifiées lors des audits internes
– constats majeurs ou dysfonctionnements identifiés lors des audits internes et qui auraient pu prendre des proportions plus conséquentes opérationnellement dans la bonne marche de l’entreprise et la conformité de ses produits / prestations
– satisfaction des clients « internes » vis à vis du retour des audits internes : avis de la Direction quant à la capacité des audits internes à remonter des informations pertinentes pour le management, retour des responsables (pilotes s’ils existent) sur la contribution de « l’outil » audit interne
– constats identifiés lors d’autres évaluations (audits externes, audits clients) et déjà identifiés en audit interne
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