Forums › Management QSE › Management de la qualité › tableaux de polyvalences et compétences
- Ce sujet contient 12 réponses, 3 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par THAUMASIA_Academie, le il y a 6 années et 10 mois.
-
AuteurMessages
-
8 février 2018 à 11 h 07 min #9987
bonjour
je suis entrain de remplir le tableau de polyvalences et compétences avec les employés et je veux savoir si on peut ajouter le niveau 0 pour les employés nouvellement recrues qui n’ont aucune compétence pour réaliser le travail
merci
8 février 2018 à 11 h 47 min #14570Hello !
Brown, en référence à « quoi » cherches-tu à savoir si tu « peux » faire ça ? Quel est le contexte d’exigences dans lequel tu t’interroges ?
(curiosité : quels sont les autres « niveaux » de compétence que tu envisages à part ce niveau « incompétent » ?)
A+
8 février 2018 à 11 h 53 min #14571vous trouvez en pièce jointe le tableau
8 février 2018 à 11 h 57 min #14572Règle de cotation Niveau 1 : débutant, réalise l’opération sous contrôle Niveau 2 : intermédiaire, dispose de l’autonomie suffisante pour réaliser l’opération en toute indépendance Niveau 3 : expert, maîtrise parfaite de l’opération, peut former d’autres salariés 8 février 2018 à 12 h 15 min #14573(suite)
Brown, tu as répondu à ma curiosité accessoire et non à ma question principale…
A suivre.
8 février 2018 à 21 h 55 min #14574Bonsoir,
Il n’existe aucune règle, aucun référentiel consacré, instaurant des niveaux de compétences.
Il appartient à chaque organisme qui souhaite déployer cette approche des compétences (il en existe d’autre) de définir les niveaux de compétences et leur correspondance.
Par exemple, ce que vous présentez (1/Débutant, 2/Autonome, 3/Expert) est une convention purement interne.
Il existe, par exemple, des entreprises avec d’autres échelles (1/En cours de tutorat, 2/Compétent débutant, 3/Expert, 4/Auditeur sur cette compétence… ou, de manière formelle : rien, « débutant », « autonome », « référent »), bref : tout est possible.
Aussi, si vous souhaitez ajouter un niveau « 0 » correspondant à « pas de compétences », pourquoi pas ?
Dans ce cas, ce qui est généralement utilisé c’est… rien… un vide… plutôt que de mettre un 0, ce qui facilite la lecture d’un tableau de compétences.
8 février 2018 à 22 h 59 min #14577Hello !
Brown, tu n’as pas encore répondu à ma question principale…
Thomasia, s’il « n’existe aucune règle, aucun référentiel consacré, instaurant des niveaux de compétences« … d’où tiens-tu « qu’il appartient à chaque organisme qui souhaite déployer » une approche des compétences ?
A+
9 février 2018 à 8 h 59 min #14580HENRI , il’n ya aucune exigence juste dans le cadre de suivre les compétences de l’organisme
9 février 2018 à 9 h 03 min #14581Thomasia, merci pour l’éclaircissement
9 février 2018 à 12 h 39 min #14583Si je puis me permettre : c’est « THAUMASIA » plutôt que Thomasia cela a sa petite importante.
> Brown : je vous en prie.
> Henri : hé bien… que dire de plus ? Chaque organisme (entreprise, société…) qui souhaite déployer une gestion de compétences est libre de le faire et avec les moyens et outils qui lui conviennent. S’il déploie une grille / matrice / tableau de compétences avec, par exemple, des niveaux : il lui appartient de choisir la notation qui lui convient. Si cela est réalisé selon les exigences de la norme ISO 9001:2015, il devra trouver (avec une gestion des niveaux de compétences ou non) un réponse à l’exigence 7.3 de la norme en veillant à déterminer les compétences nécessaires (bla bla bla)… s’assurer que les personnes sont compétences (bla bla bla)… conserver les informations documentées comme preuve (bla bla bla)…
9 février 2018 à 13 h 55 min #14586Hello !
Thaumasia, dans la formule « il lui appartient de… » je percevais une sorte d’obligation en opposition avec l’affirmation qu’il n’y a justement « aucune exigence de…« . Je perçois toujours cette forme d’exigence malgré l’affirmation contraire dans ton enchaînement « S’il déploie une grille / matrice / tableau de compétences avec, par exemple, des niveaux : il lui appartient de choisir la notation qui lui convient« . Comme si un référentiel cadrait ce que doit être un « tableau de compétences » en exigeant qu’il comporte une « notation »…
Or on n’est bien d’accord, a priori il n’y a aucune exigence du genre, a posteriori non plus puisque Brown a confirmé qu’il n’avait aucune référence à suivre pour le suivi des compétences dans son organisme. Par contre toi tu évoques le référentiel ISO 9001 (qui n’exige ni grille ni cotation des compétences).
Revenons à ton questionnement initial Brown, car du coup tu réponds toi-même à ton questionnement : puisque que tu n’as aucune exigence de référence à respecter tu fais bien comme tu veux ! Tu fais (ou pas) ton « tableau de polyvalences et compétences » à ta guise, avec autant de niveaux que tu veux (ou pas), une cotation (ou pas) employant des nombres, des lettres, de pictogrammes, des couleurs… ou pas. Tu es totalement libre !
Et par exemple tu peux parfaitement « ajouter le niveau 0 pour les employés nouvellement recrues
qui n’ont aucune compétence pour réaliser le travail« . Dans ta règle de cotation je te propose même cette formulation : « Niveau 0 : apprenti, en cours de formation pour l’opération« .A+
9 février 2018 à 14 h 36 min #14588je vous remercie Henri et THAUMASIA pour votre interaction et pour vos propositions
9 février 2018 à 17 h 14 min #14593Vos analyses et vos reformulations sont toujours « rafraichissantes » Henri
-
AuteurMessages
- Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet.