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, le il y a 8 années et 10 mois.
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Bonjour à tous,
Je me présente en quelques mots, Antoine. Je suis dans un bureau d’études (réalisant des prestations de service uniquement) en tant que responsable qualité, en charge de la mise en place de la certification ISO 9001. Ce n’est pas ma formation de base (j’ai une double étiquette qualité/production) et je suis donc formé par un intervenant extérieur qui m’accompagne dans ma démarche.
J’aurais quelques points à éclaircir avec vous, car l’intervenant en question et ma direction n’ont pas le même avis sur plusieurs points. Situation un peu difficile à gérer pour moi. Un avis tiers me permettrait d’y voir donc plus clair. Je vous remercie par avance pour les échanges que nous aurons à ce sujet !
1. J’ai créé un processus qui se nomme « avant-vente » où sont décrits les actions de prospective commerciale, de transmission d’appel d’offre, de réponse à ces appels d’offre, passation d’une commande sous-traitant, etc. et un processus production où sont traitées tous les points relatant de la production, de la veille normative et de la réclamation client. Ces deux processus sont, pour la direction, le reflet de notre société.
En revanche, l’intervenant me dit que le terme « avant-vente » est erroné et qu’il faudrait impérativement en nommer un « commercial » et un autre « production ». La seule différence est l’étymologie des mots et le transfert de la réclamation client dans le processus « commercial ». Il maintient coûte que coûte que le terme « avant-vente » peut causer soucis lors de l’audit de certification. Est-ce vraiment le cas ?
2. Dans ma procédure prospection commerciale, je voudrais intégrer tout ce qui est prospection de partenaires. L’intervenant me dit que cela ne relève pas de la prospection commerciale. Pourtant, notre boite n’est rien sans partenaire, au vu du nombre de réponses où nous partons en groupement…
3. J’ai fait un logigramme production où tous les cas de figure se présentait, y compris si nous étions en fin de phase et si celle-ci était la dernière. L’intervenant m’a fait tout enlever pour ne garder que les étapes basique… (peut-être qu’une image serait plus explicite). Alors oui, la procédure est assez macro, mais le logigramme a aussi une fonction visuelle. Y mettre tous les cas de figure, sans rentrer dans les détails dans le Qui ? Quoi ? Quand ? Comment ?, ne fait pas de ça une « usine à gaz », je me trompe ?
J’aurais sans doute d’autres question, mais cela ferait trop dans un premier temps… Vos réponses sur ces deux points me permettront déjà d’y voir plus clair. En vous remerciant une nouvelle fois par avance.
Antoine.
Re-bonjour à tous,
J’ai trouvé mes réponses aux questions posées, par contre j’en aurais une autre, plus embêtante. Si vous pouviez m’aider, merci d’avance.
Etant dans une bureau d’études où nous vendons que des prestations intellectuelles, notre savoir-faire repose essentiellement sur :
- Les normes et réglementations du métier ;
- Le DCE et autres données client ;
- Les documents partenaires ;
- Les données d’entrée pour réaliser la prestation ;
- Les données que nous récoltons (données prospectives par exemple)
- Les données que nous créeons (que ce soit support comme la charte graphique, les outils qu’on a créé pour réaliser les prestations ou les prestations en elle-même)
Les quatre premiers points sont des données externes, et je les place volontiers dans une procédure de Maitrise des documents, mais les deux derniers points ?
Est-ce qu’une procédure de Sauvegarde informatique, où je décris comment sont maitrisées ces données sur notre intranet et ERP, peut le faire ?
Merci d’avance !
Antoine.
Bonjour Antoine,
En ce qui concerne les deux derniers points, le fait de les sauvegarder, c’est une chose, mais les capitaliser et savoir quoi en faire en est une autre.
Par exemple, comment le bureau d’études se sert des données prospectives ? (intercation avec le processus d’avant vente, ou commercial, selon le terme choisi ??)
Reduire l’utilisation de ces données à seulement la procédure de sauvegarde informatique me semble insuffisant à mon sens.
Qu’en penses-tu ?
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