Forums › Management QSE › Management de la qualité › Métrologie
- Ce sujet contient 4 réponses, 5 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Assistante Qualité, le il y a 4 années et 4 mois.
-
AuteurMessages
-
16 décembre 2019 à 16 h 19 min #10642
Bonjour,
Je me pose la question de l’utilité d’étalonner ou de vérifier des pieds à coulisse que mon entreprise utilise pour le contrôle de longueurs de pièces finies.
Les tolérances de mesure sont de l’ordre de -1/+1 cm au minimum.
La dérive du pieds à coulisse se verra visuellement si elle dépasse le cm et dans ce cas il me suffit de le remplacer. Ai-je besoin d’avoir recours à un organisme d’étalonnage/vérification pour justifier cela ou dans ce cas à quoi va me servir l’organisme d’étalonnage/vérification ?
Merci pour votre aide.
Julia.
16 décembre 2019 à 16 h 35 min #17846Hello !
Effectivement contrôler des dimensions à +/- 1 cm avec des pieds à coulisse ne me semble pas justifier de recourir à un prestataire d’étalonnage/vérification pour qualifier ces moyens de contrôle. A moins peut-être que ton entreprise se soit engagée à quelque chose du genre sur la base de je ne sais quel document ?
A+
17 décembre 2019 à 13 h 27 min #17851bonjour
il est peu probable qu’on se serve de PAC (longueur 15 à 30 cm, rarement 50 cm ou plus) pour mesurer des pièces finies à +/- 1 cm. On prend un réglet ou un mètre courant, c’est bien plus rapide, plus économique et au final plus fiable (si, si ! )
il faudrait en dire plus sur les produits, leur nature, leur destination…
à te relire
18 décembre 2019 à 11 h 57 min #17857Bonjour Julia,
Le seul principe de « bon sens » est de vous assurer que les produits que vous délivrez à vos clients sont dans la tolérance « vendue » et acceptée / comprise par vos clients.
Ainsi, si vous délivrez des produits dont une tolérance dimensionnelle est à +/- 1 cm (je rejoins un commentaire précédent sur l’opportunité d’utiliser un pied à coulisse pour cela…), il vous appartient de vous assurer que vos équipements de mesure sont capables de mesurer la conformité de vos produits avec une précision suffisante.
Une interprétation simpliste conduit souvent à prendre une décision « étalonné / pas étalonné » alors que des vérifications internes peuvent parfaitement suffire et être déployées facilement.
Imaginons que vous ayez des mètres ruban pour vos contrôles de dimensions avec des tolérances (au passage : sont-ce bien les tolérances que vous rencontrez ?) de cette nature : un suivi des mètres étalons (sur leur état, le jeu avec, l’absence de pliures…) est suffisant (d’autant que, nonobstant les erreurs de lectures visuelles : les mètres de plus mauvaises classes sont généralement annoncés avec une tolérance de mesure potentielle de l’ordre de 0,5 cm, soient +/- 0,25 cm). Un contrôle croisé (inter équipe) une fois par an, par exemple, vous permet de boucler le tout.
Eventuellement, vos normes de références (NF EN 754-3…) peuvent intégrer des nécessités de classe d’équipements de mesure à employer. Mais il me semble que cela reste très exceptionnel dans ce type de normes.
Ce point n’a-t-il pas été abordé lors de votre certification ISO 9001:2015 ? L’auditeur a, normalement, confronté votre situation à sa mise en valeur selon l’exigence correspondante de la norme ?
Cordialement.
29 juillet 2020 à 11 h 28 min #18668Bonjour cher réseau,
Je suis actuellement en train de rédiger une fiche d’instructions sur la vérification périodique des multimètres.
Je bloque sur les points suivants : opérations préliminaires à la vérification des multimètres et mode opératoire pour la vérification des multimètres.
Pourriez-vous s’il vous plaît m’aider à ce niveau-là ?
Je vous remercie pour votre retour et vous souhaite une bonne journée.
-
AuteurMessages
- Le sujet ‘Métrologie’ est fermé à de nouvelles réponses.