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- Ce sujet contient 24 réponses, 4 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par sebastien93, le il y a 6 années et 9 mois.
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22 janvier 2018 à 14 h 32 min #14484
THAUMASIA_Academie a déclaré
Concernant les organismes COFRAC sur les forces, nous pouvons vous en recommander quelques uns (mais en message privé alors parce que là, c’est une question très très spécifique et les noms des laboratoires n’ont pas forcément à figurer ici).Concernant les risques, pour être au coeur de quelques externalisations de métrologie, il y a notamment les risques de :
– dégradation / perte des équipements pendant le transport (ou la prise en charge par le laboratoire sous-traitant) : hé oui… les transporteurs peuvent « perdre » des choses et, selon les garanties et nature d’expédition, les dédommagements sont ridicules. L’impact est alors sur votre capacité à réaliser vos processus,
– immobilisation au-delà des plannings définis : également un impact sur la capacité à réaliser vos processus,
– non-conformité des rapports d’essais / vérification / calibration… : dans tout les cas et quelle que soit la notoriété ou la « COFRACisation » du laboratoire sous-traitant, les rapports doivent être vérifiés en complétude, concordance, en résultats bien évidemment, à réception avant de les classer. Cela inclut notamment la portée d’accréditation (si cela est requis, mais cela devrait être fait avant), la concordance des identifiants / n° de série, la déclaration de conformité et/ou de classe, la référence aux procédures et méthodes internes éventuelles… Dans ce cas, l’impact est l’invalidation de votre process même de mesure.
Voici pour les principales me semble-t-il.
Bonjour,
Merci pour toute ces éclaircissements , je veux bien quelque nom de labo , lorsque tu parles de porté accréditation qu’entends-tu par la ?
J’ai d’autres questions qui me viennent à l’esprit :
Je veux être sur de ce que j’ai compris ensuite qu es ce qu’il faut comme éléments pour valider un rapport d’étalonnage quels élément ? je pense que tu veux parler d’un labo qui est ISO9001 ou de celui qui est COFRAC ce qui veux dire que l’on aura pas la meme porté celui qui est COFRAC sera plus rigoureux ou (est censé si j’ose dire) .
Lorsque tu me parles de perte d’instrument ça arrive souvent quand on prends des transporteurs indépendant je suppose ? ou puis-je trouver une assurance pour cela ou es t-elle comprise dans la prestation du transporteur ?
Si tu as des exemple de rapports d’étalonnages pour que je vérifie les conformités je suis preneur
Encore merci
23 janvier 2018 à 17 h 00 min #14487Bonsoir Sébastien,
Là, les réponses sont très spécifiques.
je te prépare une réponse en MP.
Cordialement,
24 janvier 2018 à 7 h 47 min #14491THAUMASIA_Academie a déclaré
Concernant les organismes COFRAC sur les forces, nous pouvons vous en recommander quelques uns (mais en message privé alors parce que là, c’est une question très très spécifique et les noms des laboratoires n’ont pas forcément à figurer ici).Concernant les risques, pour être au coeur de quelques externalisations de métrologie, il y a notamment les risques de :
– dégradation / perte des équipements pendant le transport (ou la prise en charge par le laboratoire sous-traitant) : hé oui… les transporteurs peuvent « perdre » des choses et, selon les garanties et nature d’expédition, les dédommagements sont ridicules. L’impact est alors sur votre capacité à réaliser vos processus,
– immobilisation au-delà des plannings définis : également un impact sur la capacité à réaliser vos processus,
– non-conformité des rapports d’essais / vérification / calibration… : dans tout les cas et quelle que soit la notoriété ou la « COFRACisation » du laboratoire sous-traitant, les rapports doivent être vérifiés en complétude, concordance, en résultats bien évidemment, à réception avant de les classer. Cela inclut notamment la portée d’accréditation (si cela est requis, mais cela devrait être fait avant), la concordance des identifiants / n° de série, la déclaration de conformité et/ou de classe, la référence aux procédures et méthodes internes éventuelles… Dans ce cas, l’impact est l’invalidation de votre process même de mesure.
Voici pour les principales me semble-t-il.
Bonjour,
Quand tu parles de capacité à realiser les processus qu’entends tu par la ? moi je comprends il faut dedoublé certain moyen de mesure afin de sécuriser si j’ose dire la Qualité au sein de l’entreprise
24 janvier 2018 à 8 h 27 min #14492THAUMASIA_Academie a déclaré
Bonsoir Sébastien,Là, les réponses sont très spécifiques.
je te prépare une réponse en MP.
Cordialement,
Merci
J’ai des prestataire qui viennent quel type de questions pertinente devrai-je leur posé ?
La j’ai pensée au delais ,système de navette (transport) , les retards , casse instrument, les protocoles étalonnage suivent t-ils norme pour chacun des instruments?
Merci
24 janvier 2018 à 8 h 59 min #14493Autre chose es t-il obligatoire d’avoir cette norme ?
FD X07-019 Décembre 2000 Métrologie - Relations clients/fournisseurs en métrologie
Merci25 janvier 2018 à 12 h 51 min #14503Concernant la FD X07-019 : non, il n’est pas « obligatoire » de l’avoir. Même si beaucoup de normes sont des « listes de courses » intéressantes pour y piocher de bonnes idées dans se mettre martel en tête en pensant qu’il s’agit d’un absolu.
J’arrive peut-être tard : les questions pouvant être posées aux prestataires sont :
– quels sont leurs tarifs / délais d’étalonnage / vérification des équipements ?
– où se situent-ils (question logistique) ? Font-ils les prestations (lorsque cela est possible) dans vos locaux ou chez eux ?
– sont-ils accrédités COFRAC pour les équipements que vous leur confiez (si vous vous l’imposez) ?
Quant à savoir comment identifier s’il sont COFRAC : chaque rapport de contrôle / PV d’étalonnage / rapport de vérification… doit comporter scrupuleusement le logo COFRAC (voir sur le site http://www.cofrac.fr, logo bleu, blanc… rouge…) indiquant « accréditation n°x-xxxx » et suivie de « portée disponible sur http://www.cofrac.fr ».
Cela vous permet même, sur le site « toujours » du COFRAC, de vérifier que votre prestataire y est bien enregistré et est toujours accrédité.
Mais encore une fois : selon les exigences de qualité que vous souhaitez imposer à votre chaîne de mesure / conformité, selon les exigences de vos propres clients, c’est à vous qu’il appartient de décider si vous souhaitez vous imposer de recourir à des prestations sous accréditation.
C’est plus prudent en terme de qualité, mais c’est souvent plus onéreux.
P.S. : le COFRAC a été mentionné 7 fois dans ce petit post, j’atteste sur l’honneur n’avoir aucune action ou participation commerciale à cette institution
26 janvier 2018 à 10 h 36 min #14508Bonjour me revoilou
Bon la je suis sur question vraiment délicate , je m’explique j’ai un prestataire X qui ma filer un rapport d ‘etalonnage que j’essaie de décortiquer mais voila je vois dans sont tableau recaptilatif qu’il trouve 30 micromètres d’erreur de contact sur un pieds a coulisse et que sont incertitude de mesure est a +/- 21 micromètre ce qui veut dire que je suis a 30 comme je peut etre à 9 ou encore 51 sauf que ma norme me dit que à 51 micro mon pieds a coulisse est non conforme qu es ce que vous en pensez ?
Je résume : erreur mesuré : 30
incertitude mesure : 21
erreur maximum tolérée : 50
avec l’incertitude meme si y a peu de chance car surment elargie comment je justifie au clien que mon incertidue ne viendra pas depasser les 50 micromètres de EMT?
29 janvier 2018 à 13 h 09 min #14515Bonjour,
j’ai besoin d’un peu d’aide sur la redaction d’un cahier des charges destiné aux prestataire qu’es ce qu’il faut que j’écrive dedans
je comptre mettre les EMT que l’on s’impose au sein de l’entreprise mais juste avant de parler de cela il faut le contexte etc si quelqu’un a un exemple type je vous remercie d’avance
31 janvier 2018 à 18 h 41 min #14535Bonjour Sébastien,
Concernant votre réflexion sur les incertitudes : la logique est la bonne. Cependant, ne connaissant pas la norme spécifique des PaC ni la nature du rapport de votre fournisseur X, je ne peux que me fier à ce que vous déclarez.
En tout état de cause, je me demande simplement si le PaC (ou si les PaC) ainsi que sa classe sont adaptés à la précision de la mesure que vous souhaitez en faire. Visiblement, je partagerais l’inquiétude d’un client à qui vous ne pourriez démontrer que vous avez les moyens de mesurer la classe de tolérance que vous cherchez…
Pour ce qui est de la rédaction d’un cahier des charges, sans devoir réinventer ce que nous avons déjà posé : indiquez les critères que nous avons déjà formulés (délais, accréditations, procédures utilisées…) ? Il s’agit là de la même réflexion.
Courage…
5 février 2018 à 7 h 50 min #14545Bonjour ,
je voulais savoir autre chose je sais que en métrologie il faut pas avoir un instrument plus précis de 6 fois l’instrument sur lequel on doit etalonner .
Mais sur un pieds a coulisse comment avoir une precision meilleur que 0.02 de resoultion?
MERCI
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