Bonjour,
J’ai trouver la raison:
Sa principale faiblesse a été d’agréger dans la même mesure des activités de nature totalement différentes : d’un côté, le traitement des anomalies (détection et correction), de l’autre, la prévention de ces anomalies. Deux entreprises affichant la même mesure de COQ en pourcentage de leur chiffre d’affaires dont la première ne ferait que du curatif, et la seconde que du préventif, ont-elles la même performance en termes de qualité ? À l’évidence non. Et pourtant la mesure affichée est identique. Dans ses écrits, Juran identifie ce risque et préconise de se concentrer sur les « coûts imputables à la mauvaise qualité. »